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Les problèmes que causent le panafricanisme et le kemetisme aux velléités impérialistes françaises

Introduction

Le panafricanisme, autrefois perçu comme une idéologie unissant les peuples africains et leurs descendants pour lutter contre le colonialisme et l’oppression, a récemment pris une tournure plus radicale selon certains experts et analystes français. Cette évolution, particulièrement visible dans les pays africains francophones, se manifeste par une hostilité croissante envers la France, accusée de néocolonialisme et d’exploitation continue du continent africain. Cette transformation n’est pas sans conséquence pour les relations franco-africaines, traditionnellement fondées sur des liens historiques de domination coloniale et de politiques désastreuses notamment dans le cadre de ce que l’on à appelé la « Françafrique ».

Une enquête menée par l’École de Guerre Économique se focalise sur ce changement d’attitude en identifiant des « responsables » de ce rejet de la France.
Cette enquête du club influence de l’AEGE vise à mettre en lumière les enjeux de cette guerre cognitive et à proposer des recommandations pour que la France puisse non seulement défendre ses intérêts en Afrique, mais aussi reconstruire une image positive et durable sur le continent.

Guerre de l’information contre la France en Afrique

L’enquête menée par l’École de Guerre Économique révèle les mécanismes de cette guerre informationnelle et ses répercussions désastreuses pour la France. Des acteurs locaux, souvent regroupés sous le terme “panafricanistes”, coordonnent leurs actions à l’échelle continentale pour propager une rhétorique anti-française. Ce mouvement, soutenu par des puissances étrangères telles que la Russie, le Qatar et la Turquie, utilise des stratégies de communication sophistiquées pour influencer l’opinion publique africaine et affaiblir l’influence française.Il est impératif de comprendre les dynamiques de cette offensive informationnelle pour développer des contre-mesures efficaces.

L’enquête veut faire croire que le panafricanisme allait de paire avec ses intérêts et qu’un nouveau groupe de penseurs sèmerait la zizanie dans les milieux intellectuels de la francophonie et que ces acteurs sont financés par les puissances étrangères qui ont intérêts à reprendre les terrains desquels la France se trouve obligée de se départir.
Dans une tentative de réécrire l’histoire, l’enquête présente les sphères panafricaines presque comme étant des « amies » infiltrées par des agents financés par les puissances étrangères concurrentes de la France.

De la même manière le kemetisme est présenté comme un courant radical du panafricanisme à la manière du djihadisme par rapport à l’Islam.
Voici comment l’école de guerre économique (EGE)définit le kémétisme à la page 20 de son enquête:

«Le kémitisme est une idéologie politico-religieuse, sous-courant radical du panafricanisme, qui affirme que l’Egypte, berceau de la civilisation africaine et mondiale, aurait été façonnée et dirigée par une élite noire. L’Egypte antique aurait donc marqué l’apogée de la puissance africaine, avant que les Européens ne mettent les noirs en esclavage et ne les dépossède de leur mémoire, de leur religion et de leurs technologies. Les kémites, qui utilisent souvent des prénoms égyptiens, promeuvent l’idée d’un patrimoine commun (génétique et culturel) à tous les Africains, au-delà des différences de nationalités, de religions ou d’ethnies. Les kémites
accusent les Européens blancs (appelés “leucodermes”) de la plupart des malheurs passés et présents de l’Afrique. Notamment, ils demandent pour la plupart l’expulsion définitive de tous les européens d’Afrique et, pour certains le paiement de réparations financières par les Européens. D’autres vont encore plus loin et demandent l’interdiction légale du métissage, qui menacerait de salir la lignée kémite et de rabaisser les africains au rang des européens. Les kémites sont un courant minoritaire du panafricanisme quoi qu’influent : certains éléments de langage du kémitisme sont repris ou défendus par des militants noirs plus modérés. »

L’enquête, non sans paternalisme, argumente que le rejet de la France n’est que le reflet des efforts et des financements venant des puissances étrangères concurrentes à la France qui ont un intérêt évident dans ce « retrait » de la France du continent. Un argument qui rappel les reflexes coloniaux des heures sombres de la domination de la France en Afrique. Les africains ne nous rejettent que parce que les méchants étrangers font en sorte qu’ils nous détestent…

Russie, Qatar, Turquie, Etats-Unis : Les puissances étrangères comme acteurs centraux

La Russie a su s’implanter de manière stratégique en Afrique francophone, profitant de la montée du panafricanisme pour étendre son influence. En soutenant financièrement et militairement certaines factions panafricanistes, elle renforce sa position sur le continent tout en affaiblissant l’influence française. La Russie voit en l’Afrique francophone une opportunité pour contrer l’influence occidentale et accéder à de nouvelles ressources.
Zoom : Fonctionnement et organisation du Groupe WAGNER – Un exemple concret de l’implication russe via des opérations militaires et de renseignement.

Le Qatar et la Turquie, à travers des investissements médiatiques et culturels, soutiennent également le panafricanisme. Ils utilisent leurs réseaux de diffusion pour promouvoir des contenus qui critiquent la présence française en Afrique, tout en renforçant leur propre influence régionale.

Etats-Unis, Allemagne, Italie : des alliés encombrants – Ces nations, bien qu’alliées de la France, mènent également des politiques qui peuvent indirectement soutenir les mouvements panafricanistes.

L’enquête établie des constats et émets des recommandations afin que la France puisse contrer cette guerre informationnelle

Constat : La France, une puissance contestée en Afrique dans la sphère cognitive et informationnelle

La “relation spéciale” de la France avec les pays africains francophones est gravement menacée. Cette relation, autrefois basée sur des liens historiques et culturels forts, est de plus en plus remise en question par des acteurs locaux qui diabolisent l’action française en Afrique. Ces acteurs diffusent un argumentaire transnational au niveau national, critiquant sévèrement les actions de la France sur le continent africain.

Ces critiques émanent principalement de ce que l’on pourrait regrouper sous le terme “panafricanistes”. Toutefois, il est crucial de noter que ce terme a évolué, s’éloignant de son acceptation universitaire pour désigner un ensemble d’acteurs nationaux qui coordonnent leurs actions à l’échelle continentale autour de thèmes communs tels que la souveraineté et l’anti-impérialisme. Le courant de pensée panafricaniste est en réalité très hétéroclite : certains acteurs prônent des revendications souverainistes et patriotiques, tandis que d’autres se contentent d’une rhétorique hostile à la France sans proposer de véritable projet politique articulé selon l’enquête.

La première catégorie rejette souvent la seconde, qualifiant ses membres de “panafricons”, insinuant qu’ils agissent par intérêt matériel ou médiatique, voire dans l’intérêt de nations étrangères plutôt que pour celui des Africains. C’est cette seconde catégorie, principale responsable de l’offensive informationnelle contre la France, qui est au cœur du présent rapport, et non l’école de pensée panafricaniste ou panafricaine en général.

Cette guerre informationnelle coordonnée contre la France a des conséquences désastreuses pour l’hexagone. À court terme, l’image de la France est fortement dégradée, mettant en péril ses débouchés économiques sur le continent africain. À moyen et long terme, la France risque de perdre la guerre de l’information, car les représentations dominantes dans les esprits africains sont désormais largement anti-françaises. Pour la première fois, Paris se retrouve en position d’outsider sur le continent africain, face à des acteurs nouvellement implantés.

Recommandations : Repenser la stratégie française de guerre de l’information et de guerre cognitive

La France doit accepter la perte de son influence passée et comprendre la profonde rupture en cours depuis les années 2010. Détrônée dans la sphère cognitive, il est impératif de repenser l’édifice politico-économique français en Afrique sur le long terme. Cela implique d’écouter et d’intégrer les revendications des panafricanistes traditionnels, tout en combattant frontalement la petite minorité de “panafricons” et leurs alliés étrangers.

Plutôt que de combattre les revendications souverainistes des penseurs panafricanistes, la France doit accompagner la construction d’une nouvelle Afrique panafricaine, pleinement indépendante mais capable de maintenir des relations positives avec la France. Cet accompagnement doit notamment soutenir l’émergence de vecteurs informationnels locaux (médias, culture de masse, cinéma) afin de ne plus laisser ce champ libre ni aux “panafricons”, ni aux puissances hostiles à la France (comme la Turquie avec ses centres de formation des journalistes), ni aux puissances alliées (comme les États-Unis avec leurs productions afro-américaines largement diffusées en Afrique).

Cette défaite française dans la sphère informationnelle doit servir d’électrochoc pour pousser les décideurs à repenser la place de la guerre informationnelle dans la doctrine de défense nationale. La défaite de la France doit être le point de départ des réflexions sur ce sujet, mais aussi un terrain d’expérimentation pour développer une doctrine adaptée aux défis du XXIe siècle.

Cette nouvelle doctrine doit avoir deux visages : d’un côté, elle doit garantir la sanctuarisation de la sphère informationnelle française et la souveraineté cognitive de la population française (aspect défensif) ; de l’autre, elle doit être capable de développer des outils et des pratiques offensives, blanches et grises.

Pour appliquer cette doctrine, il est nécessaire de créer dès maintenant des espaces de réflexion, des unités civilo-militaires adaptées, des partenariats avec des entreprises privées de services ou technologiques, ainsi qu’un cadre légal et d’emploi permettant de contrôler et réglementer les opérations informationnelles.

Conclusion

Les panafricanistes doivent rester vigilants face aux intentions impérialistes de la France, qui cherche à élaborer des stratégies de guerre informationnelle pour décrédibiliser les acteurs du mouvement panafricain et garantir ses intérêts en Afrique. Cette enquête démontre l’efficacité croissante de l’action panafricaine et kémite, mais souligne également que la souveraineté des espaces africains ne sera pas obtenue sans lutte. Les anciens colons, comme la France, cherchent à maintenir des relations avantageuses pour eux, même si cela implique de se présenter sous une nouvelle forme, tel un serpent après sa mue.

La France est prête à nuire à la réputation de ceux qu’elle considère comme les chefs de file du mouvement panafricain. Il est crucial pour les Africains de comprendre ces enjeux, de faire preuve de clairvoyance et de prendre en main leur destin.

Ce n’est pas à la France de dicter ce que nous voulons. Si nous ne voulons plus de sa présence, c’est pour de bonnes raisons. La France a pris l’Afrique pour acquise, mais cette enquête révèle à quel point il est difficile pour elle de se défaire de ses vieilles habitudes coloniales et à quel point elle redoute les rapprochements du continent avec de nouveaux acteurs. Les narratifs qui seront promus dans les sphères francophones du continent dans les années à venir risquent de refléter cette réalité. Les panafricanistes doivent rester unis et déterminés pour contrer ces tentatives de manipulation et assurer un avenir véritablement souverain pour l’Afrique.


BONUS

Le déclin de l’influence française en Afrique et la montée du panafricanisme (Compte rendu par Blu S)

Introduction

Le rapport du Club Influence de l’AEGE, publié au printemps 2023, révèle une réalité qui réjouit de nombreux Africains : l’influence de la France sur le continent africain, notamment dans les pays francophones, est en chute libre. Cette dégradation est le fruit de la montée en puissance de divers groupes panafricanistes qui luttent pour l’indépendance et la souveraineté des nations africaines face aux vestiges de l’impérialisme français.

Constat: Une influence française en déclin

Depuis des décennies, la France a maintenu une relation privilégiée avec les pays africains francophones, héritée de la période coloniale. Cependant, cette relation est aujourd’hui sévèrement contestée par des acteurs locaux qui dénoncent la France et ses actions en Afrique. Ces critiques, autrefois sporadiques, se sont transformées en une opposition organisée et coordonnée à l’échelle transnationale, touchant une large partie de l’Afrique francophone.

Les critiques à l’encontre de la France sont portées par deux types d’acteurs : d’une part, les souverainistes et patriotes qui ont des revendications politiques et idéologiques claires, et d’autre part, ceux que l’on nomme “panafricons”, qui utilisent une rhétorique anti-française sans véritable projet politique, souvent accusés de servir des intérêts étrangers ou matériels.

Une offensive informationnelle coordonnée

L’un des aspects les plus marquants de ce déclin est la guerre informationnelle menée par les groupes panafricanistes contre la France. Ils coordonnent leurs actions à l’échelle continentale pour défendre des enjeux de souveraineté et d’anti-impérialisme. Cette offensive est soutenue par une production de contenu critique, souvent réalisée de manière professionnelle, renforçant ainsi leur influence sur les opinions publiques africaines.

Conséquences à court et long terme

Cette guerre informationnelle a des conséquences significatives pour la France. À court terme, son image est fortement dégradée, affectant ses relations diplomatiques et économiques. Les débouchés économiques français en Afrique sont menacés, mettant en péril les investissements et partenariats stratégiques. À moyen et long terme, la France, ayant perdu la bataille des représentations, risque de perdre la guerre de l’information. La sphère cognitive des populations africaines est désormais sous l’influence d’acteurs promouvant des contenus anti-français, créant un état de fait durable où Paris se retrouve marginalisée face à des acteurs nouvellement implantés.

L’hétérogénéité du mouvement panafricaniste

Le mouvement panafricaniste est loin d’être homogène. Il comprend une vaste gamme d’acteurs, allant des souverainistes et patriotes, qui cherchent à redéfinir la souveraineté nationale et continentale, à ceux qui se contentent de critiquer la France sans proposer de solutions concrètes. Cette diversité crée des tensions internes, notamment entre les souverainistes et les “panafricons”. Les premiers accusent les seconds de servir des intérêts matériels ou étrangers, plutôt que ceux des Africains. C’est cette seconde catégorie de panafricanistes, qualifiée de “panafricons”, qui est au cœur du rapport du Club Influence de l’AEGE.

La France en position d’outsider

Pour la première fois, la France se retrouve en position d’outsider sur le continent africain. Cette situation est exacerbée par l’entrée en scène de nouvelles puissances, comme la Russie, le Qatar, et la Turquie, qui soutiennent activement les mouvements panafricanistes pour affaiblir l’influence française. Ces puissances étrangères apportent des ressources financières, médiatiques, et parfois militaires aux acteurs panafricanistes, leur permettant de mener une guerre informationnelle plus efficace contre la France.

Les conséquences de cette nouvelle dynamique sont profondes. Non seulement la France perd son influence traditionnelle, mais elle doit désormais faire face à des compétiteurs nouveaux et agressifs, prêts à combler le vide laissé par le retrait français. Cette situation nécessite une réévaluation complète des stratégies françaises en Afrique, tant sur le plan de l’influence que de la présence économique et militaire.

Conclusion

La dégradation de l’influence française en Afrique est un phénomène complexe, alimenté par la montée en puissance des mouvements panafricanistes et le soutien actif de puissances étrangères. Pour surmonter cette crise, la France doit repenser ses stratégies d’influence et de guerre informationnelle, intégrer les revendications des panafricanistes traditionnels, et développer de nouveaux outils pour protéger ses intérêts à long terme.

La reconquête de l’influence française en Afrique passe par une compréhension profonde des dynamiques locales et une adaptation stratégique aux nouvelles réalités géopolitiques. Les défis sont nombreux, mais avec une stratégie adaptée, la France peut encore trouver sa place dans une Afrique en pleine mutation.11


SOURCES

Rapport du Club Influence de l’AEGE

Titre : Printemps 2023 Panafricanisme
Auteur : Club Influence de l’AEGE
Date de publication : Mars 2024
Description : Ce rapport analyse l’effondrement de l’influence française en Afrique face à la montée des mouvements panafricanistes et la guerre informationnelle.
Article de Jeune Afrique

Titre : L’influence française en Afrique : une page se tourne ?
Auteur : Mehdi Ba
Date de publication : 15 juin 2023
Description : Analyse des récentes évolutions des relations franco-africaines et des facteurs ayant conduit à la perte d’influence française.
Publication de l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI)

Titre : La France en Afrique : entre déclin et redéfinition stratégique
Auteur : Thierry Vircoulon
Date de publication : Décembre 2022
Description : Étude sur la redéfinition de la stratégie française en Afrique face aux nouveaux défis géopolitiques.
Rapport de l’International Crisis Group

Titre : Les nouveaux acteurs de l’influence en Afrique francophone
Auteur : International Crisis Group
Date de publication : Mars 2023
Description : Analyse des nouveaux acteurs influençant la politique en Afrique francophone, incluant la Russie, le Qatar et la Turquie.
Article de Le Monde Diplomatique

Titre : Panafricanisme et influence étrangère en Afrique
Auteur : Marc-Antoine Pérouse de Montclos
Date de publication : 20 avril 2023
Description : Étude des mouvements panafricanistes et de leur rôle dans la recomposition des influences étrangères en Afrique.
Publication académique de l’Université de Johannesburg

Titre : La montée du panafricanisme moderne : Acteurs et dynamiques
Auteur : Dr. Nanjala Nyabola
Date de publication : Janvier 2023
Description : Analyse des nouveaux mouvements panafricanistes et de leur impact sur la politique africaine contemporaine.
Entretien avec Kémi Séba

Titre : L’Afrique et la France : une relation en pleine mutation
Auteur : Kémi Séba
Date : Février 2023
Description : Témoignage du militant panafricaniste sur les évolutions des relations franco-africaines et le rôle des mouvements souverainistes.
Document de la Fondation Konrad Adenauer

Titre : La présence française en Afrique : défis et perspectives
Auteur : Fondation Konrad Adenauer
Date de publication : Octobre 2022
Description : Étude sur les défis auxquels la France est confrontée en Afrique et les perspectives pour l’avenir.


SOURCES
Additionnelles

Livres et Articles Académiques
“Le Panafricanisme” par Alain Anselin : Une analyse des racines et des évolutions du panafricanisme.
“L’Afrique face à ses nouveaux défis” par Jean-Michel Severino et Olivier Ray : Un livre qui traite des enjeux contemporains en Afrique, y compris les influences étrangères.
“L’Afrique et la France : De l’aube du colonialisme à la fin du franc CFA” par Yves Benot : Un ouvrage qui explore l’histoire des relations franco-africaines.
“The Pan-African Movement” par Immanuel Geiss : Un ouvrage clé pour comprendre les origines et l’évolution du panafricanisme.
“Africa and France: Postcolonial Cultures, Migration, and Racism” par Dominic Thomas : Ce livre explore les relations postcoloniales entre l’Afrique et la France.
“Panafricanism: The Idea and Movement, 1776-1991” par Imanuel Geiss : Une analyse approfondie des idéologies panafricanistes.

Rapports et Enquêtes
“Russia’s Strategic Interests in Africa” par l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) : Un rapport sur l’influence croissante de la Russie en Afrique.
“Les nouvelles stratégies informationnelles en Afrique” par l’École de Guerre Économique : Une enquête détaillée sur les offensives informationnelles en Afrique.
“Influences étrangères et désinformation en Afrique francophone” par l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) : Un rapport détaillant les stratégies d’influence en Afrique.
“La stratégie informationnelle russe en Afrique francophone” par l’École de Guerre Économique : Une enquête sur l’implication de la Russie dans les dynamiques informationnelles en Afrique.

Articles de Presse et Médias
“How Russia Is Courting Africa” – The New York Times : Un article détaillant l’implication de la Russie en Afrique.
“The Rise of Pan-Africanism in Francophone Africa” – The Guardian : Une analyse de la montée du panafricanisme dans les pays francophones africains.
“Qatar and Turkey’s Influence in Africa” – Al Jazeera : Un article sur l’influence du Qatar et de la Turquie en Afrique.
“L’Afrique, terrain de bataille informationnelle” – Le Monde Diplomatique : Un article sur les différentes influences informationnelles en Afrique.
“Les nouvelles routes de la soie en Afrique” – Le Figaro : Un article qui explore les nouvelles dynamiques géopolitiques et économiques en Afrique.
“La France face à la montée du sentiment anti-français en Afrique” – Jeune Afrique : Une analyse des défis actuels pour la France en Afrique.

Sites Web et Blogs
The Pan-African Alliance (https://www.panafricanalliance.com) : Un site dédié aux idées et mouvements panafricanistes.
Africa Is a Country (https://africasacountry.com) : Un blog qui offre des perspectives critiques sur les relations internationales en Afrique.
Afrique XXI (https://afriquexxi.info) : Un site offrant des analyses critiques sur les relations internationales en Afrique.
Le Blog de l’IRIS (https://www.iris-france.org/blog) : Des articles et des analyses sur les enjeux géopolitiques en Afrique.

Documents Officiels et Déclarations
Communiqués du Ministère des Affaires Étrangères Français : Pour les positions officielles de la France concernant ses relations avec l’Afrique, disponibles sur le site du ministère (https://www.diplomatie.gouv.fr).
Déclarations du Groupe Wagner en français : Des documents disponibles sur les forums et les sites spécialisés en géopolitique.


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