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Le Judaïsme en Afrique: Un héritage riche et diversifié + BONUS

Le Judaïsme en Afrique est un sujet fascinant qui témoigne de la richesse culturelle et religieuse du continent. À travers les âges, différentes occurrences du Judaïsme se sont développées dans diverses régions d’Afrique, reflétant l’interaction complexe entre les traditions locales et les influences extérieures. Dans cet article, nous explorerons les divers aspects du Judaïsme africain, notamment les Juifs d’Afrique du Nord, les Falachas d’Éthiopie, les revendications sur l’histoire des Noirs dans la Bible, l’héritage spirituel de la vallée du Nil, et le mouvement des Blacks Hebrew Israelites.

Carte de répartition de la population juive africaine en 2005, wikipédia.

1. Les Juifs en Afrique du Nord

L’Afrique du Nord a été le berceau d’une présence juive millénaire. Les racines de la communauté juive dans cette région remontent à l’Antiquité, avec des preuves archéologiques attestant de leur présence dès le 1er siècle de notre ère. Des communautés juives ont prospéré dans des pays tels que le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Libye. Ces communautés ont joué un rôle essentiel dans le développement culturel, économique et intellectuel de la région.

Au cours des siècles, les Juifs d’Afrique du Nord ont développé des coutumes et des pratiques religieuses uniques qui combinaient à la fois des éléments judaïques et des traditions locales. La coexistence entre Juifs et Arabes a été marquée par des périodes de tolérance, mais aussi par des épisodes de persécution et d’expulsion, notamment pendant l’Inquisition espagnole au 15e siècle. Malgré ces défis, certaines communautés juives ont réussi à maintenir leurs traditions et leur identité religieuse.

Outre leur présence historique en Afrique du Nord, les Juifs ont également contribué de manière significative à l’essor culturel et intellectuel de la région. Durant l’âge d’or de l’Andalousie, au Moyen Âge, de nombreux Juifs nord-africains ont joué un rôle essentiel dans les échanges intellectuels et scientifiques avec les communautés musulmanes et chrétiennes. Ils ont notamment traduit d’importants ouvrages philosophiques et scientifiques du grec et du latin en arabe et en hébreu, contribuant ainsi à la transmission du savoir entre les différentes cultures de la région.

2. Les Falachas d’Éthiopie

En Éthiopie, une communauté juive connue sous le nom de Falachas, ou Beta Israël, a été présente depuis l’Antiquité. Ils prétendent être les descendants d’une tribu d’Israël et se réfèrent à eux-mêmes comme les “maisons d’Israël”. L’origine exacte de cette communauté suscite des débats parmi les chercheurs, mais leur histoire est étroitement liée aux légendes bibliques et aux traditions locales.

Les Falachas ont développé des pratiques religieuses uniques qui présentent des similitudes frappantes avec le Judaïsme rabbinique. Ils observent les principaux rituels juifs, tels que le Sabbat et la circoncision, et ont conservé une version de la Torah en geez (ancienne langue éthiopienne). La communauté a également vénéré un livre sacré appelé “Orit”, qui correspond en grande partie aux cinq premiers livres de la Bible hébraïque.

Pendant des siècles, les Falachas ont connu des périodes de marginalisation et d’isolement, mais aussi des périodes de prospérité sous le règne de certains rois éthiopiens qui les ont soutenus. Cependant, ce n’est qu’au 20e siècle qu’ils ont été largement reconnus comme étant juifs par les autorités religieuses et politiques israéliennes. De nombreuses opérations de sauvetage ont été organisées pour les ramener en Israël, où une partie significative de la communauté vit aujourd’hui.

L’histoire des Falachas en Éthiopie est marquée par des défis et des obstacles, mais elle est également le reflet d’une résilience extraordinaire. Pendant les périodes de persécution, certains Falachas se sont réfugiés dans des régions éloignées et montagneuses, où ils ont maintenu leur foi et leurs traditions malgré les difficultés. Les efforts d’intégration en Israël ont également posé des problèmes d’adaptation pour certains membres de la communauté, mais au fil du temps, ils ont réussi à préserver leur identité et à enrichir la diversité culturelle d’Israël.

3. Les Lembas d’Afrique australe

Les Lembas, également connus sous le nom de Balemba, Remba ou Lemba, sont une communauté ethnique d’Afrique australe, principalement présente au Zimbabwe, en Afrique du Sud et au Mozambique. Cette communauté a suscité l’intérêt des chercheurs et du public en raison de certaines revendications qui suggèrent que les Lembas pourraient être liés aux anciennes tribus d’Israël. Selon la tradition orale des Lembas, ils sont les descendants d’une tribu juive ancienne qui aurait quitté le Moyen-Orient il y a des milliers d’années et migré vers l’Afrique. Ils disent notamment venir de “Sena” (Sanaa au Yemen)

Les Lembas présentent certaines caractéristiques qui ont suscité des comparaisons avec les Juifs. Ils pratiquent des rituels similaires à ceux du Judaïsme, comme la circoncision, l’observance du Sabbat et l’interdiction de consommer des aliments considérés comme impurs. De plus, ils revendiquent la possession d’un objet sacré qu’ils appellent “ngoma lungundu,” qu’ils considèrent comme une arche d’alliance similaire à celle mentionnée dans la Bible.

Cependant, il est important de noter que les preuves historiques et génétiques concernant les liens entre les Lembas et les anciennes tribus d’Israël sont encore sujettes à débat et à étude. Certaines recherches ont suggéré des similitudes génétiques entre les Lembas et les populations juives, attestant d’une origine patrilinéale sémitique issu d’un mélange entre juifs et arabes, tandis que d’autres études ont remis en question la validité de ces conclusions. La recherche sur l’histoire et l’origine des Lembas est en cours, et de nouvelles découvertes pourraient apporter des éclaircissements sur leurs origines et leur patrimoine culturel.

En fin de compte, l’histoire des Lembas est un sujet complexe et fascinant qui mérite une approche nuancée et basée sur des preuves solides. Les revendications concernant leur lien avec les anciennes tribus d’Israël continuent de susciter l’intérêt et la curiosité des chercheurs et des communautés concernées, et la recherche scientifique continue d’apporter des informations pour mieux comprendre leur histoire et leur héritage.

4. Revendications concernant l’histoire des Noirs dans la Bible

Une caractéristique intéressante du Judaïsme en Afrique est la revendication selon laquelle l’histoire des Noirs est intimement liée à l’histoire biblique. Certains chercheurs, activistes et groupes identitaires soutiennent que les Noirs ont joué un rôle plus important dans les récits bibliques que ne le reconnaît traditionnellement l’interprétation dominante.

Cette perspective met l’accent sur des personnages bibliques tels que Moïse, Henoch, la Reine de Saba, et d’autres figures qui auraient des origines africaines ou des liens avec l’Afrique. Ces revendications soulèvent des questions sur la manière dont les textes religieux ont été interprétés et présentés à travers l’histoire, et elles suscitent des débats sur l’importance de reconnaître l’influence et la présence des peuples africains dans les récits bibliques.

Les revendications sur l’histoire des Noirs dans la Bible ne se limitent pas à l’Afrique, mais elles trouvent également un écho dans la diaspora africaine des Amériques. Certains groupes afro-américains aux États-Unis, tels que les ont adopté des croyances similaires à celles des mouvements afrocentristes en Afrique, reliant leur histoire à celle des Israélites bibliques. Cette approche a été utilisée comme un moyen d’affirmer leur identité et leur dignité face à l’oppression passée et présente.

5. L’héritage spirituel de la vallée du Nil

L’Afrique du Nord et la région de la vallée du Nil ont été le berceau de civilisations anciennes prospères et de spiritualités riches. De nombreux chercheurs suggèrent que certaines croyances et pratiques de ces anciennes cultures ont influencé le développement du Judaïsme non seulement dans la région, mais que ces croyances auraient influencé le Judaisme dans son “essence” également.

Des éléments tels que le monothéisme, les pratiques rituelles et les symboles religieux peuvent être retracés dans les traditions des anciennes civilisations égyptiennes, nubiennes et éthiopiennes. Cette connexion historique souligne le caractère profondément enraciné du Judaïsme en Afrique et son héritage spirituel, qui s’étend bien au-delà des périodes historiquement documentées. L’héritage spirituel de la vallée du Nil est profondément enraciné dans la culture africaine. Les anciennes croyances ressemble à de nombreuses pratiques religieuses en Afrique subsaharienne, notamment les croyances animistes et le culte des ancêtres. Certains chercheurs soutiennent que des éléments du monothéisme africain ont été transmis dans les traditions religieuses qui ont émergé plus tard suite à leurs intéractions avec l’Afrique et le Judaïsme pourrait avoir hérité de ce monothéisme africain.

6. Le mouvement des Blacks Hebrew Israelites

Le mouvement des Blacks Hebrew Israelites est un phénomène religieux et identitaire qui s’est développé aux États-Unis principalement au 20e siècle. Inspirés par les travaux de chercheurs comme Yosef Ben Yochannan (alias Dr. Ben), des groupes afro-américains se sont appropriés certaines croyances et pratiques du Judaïsme, tout en mettant l’accent sur l’identification ethnique avec les Israélites bibliques.

Ce mouvement soulève des questions complexes sur l’appropriation culturelle, l’identité religieuse et l’interprétation des traditions sacrées. Certains groupes affirment que les Afro-Américains sont les descendants des anciennes tribus d’Israël et revendiquent une connexion directe avec l’histoire biblique. Toutefois, cette perspective n’est pas universellement acceptée par la communauté juive traditionnelle, qui soulève des critiques quant à l’authenticité et à l’interprétation de ces revendications. Le mouvement des Blacks Hebrew Israelites n’est pas homogène, et il englobe une diversité de croyances et de pratiques. Certains groupes mettent l’accent sur la préservation des traditions hébraïques, tandis que d’autres s’appuient sur une interprétation plus libre de la Bible pour soutenir leurs revendications identitaires. Ce mouvement soulève des débats sur la manière dont l’identité religieuse et ethnique s’entrecroisent, et il met en lumière l’importance de reconnaître la pluralité des expériences et des histoires dans la diaspora africaine.

[BONUS] Théories de Réappropriation Identitaire et la Connection Khazars-Ashkénazes

Au cours de l’histoire, certaines théories de réappropriation identitaire ont émergé et ont eu un impact non negligable dans certains cercles africains, suggérant des connexions entre différents groupes ethniques ou culturels dans le but de revendiquer des origines spécifiques. Une de ces théories concerne les Khazars, un peuple turc qui a établi un royaume dans la région du Caucase du Nord entre les VIIIe et Xe siècles. Certains chercheurs et groupes ont fait valoir que les Khazars se sont convertis au Judaïsme et sont devenus les ancêtres des Ashkénazes, la principale branche des Juifs d’Europe centrale et de l’Est.

Cette théorie, connue sous le nom de “théorie khazar”, a été popularisée dans les années 1970 et 1980 par des auteurs tels que Arthur Koestler dans son livre “La Treizième Tribu”. Ces affirmations ont suscité un débat intense parmi les chercheurs, car il n’existe pas de preuves historiques solides pour étayer cette thèse. Les preuves génétiques et historiques suggèrent que les Ashkénazes ont des liens avec les populations juives du Moyen-Orient plutôt qu’avec les Khazars.

La théorie khazar a également été exploitée et déformée par Adolf Hitler et les nazis dans leur propagande antisémite. Les nazis ont utilisé des idées fausses et non fondées sur l’origine des Ashkénazes pour propager la théorie du “Judéo-bolchévisme”, affirmant que les Juifs ashkénazes avaient des liens supposés avec les Khazars turcs et les Mongols, et qu’ils étaient les responsables du communisme en Europe de l’Est.

Cependant, la théorie khazar a persisté dans certains cercles, parfois pour soutenir des agendas politiques ou idéologiques. Certains groupes qui nient le lien historique entre les Juifs ashkénazes et les populations juives du Moyen-Orient l’utilisent pour remettre en question l’identité juive et la légitimité du peuple juif. Il est important de noter que la théorie khazar a été réfutée par la grande majorité des chercheurs et historiens spécialisés dans le Judaïsme et la génétique des populations.

Conclusion

En conclusion, l’histoire du Judaïsme en Afrique est complexe et diversifiée, englobant différentes occurrences à travers le continent. Les Juifs ont prospéré en Afrique du Nord depuis des millénaires, contribuant à la richesse culturelle et intellectuelle de la région. Les Falachas d’Éthiopie, en particulier, présentent une perspective fascinante sur les liens possibles entre l’Afrique et le monde juif ancien.

Les revendications concernant l’histoire des Noirs dans la Bible ne se limitent pas à l’Afrique, mais elles trouvent également un écho dans la diaspora africaine des Amériques. Ces affirmations stimulent des débats sur l’interprétation de l’histoire et de l’identité, soulignant l’importance de reconnaître la pluralité des expériences et des histoires dans la diaspora africaine.

Le mouvement des Blacks Hebrew Israelites offre une vision complexe de la construction identitaire au sein de la diaspora africaine. Bien qu’il ne soit pas homogène, il met en évidence l’importance de l’identité religieuse et ethnique pour de nombreux peuples africains dans leur quête de sens et de reconnaissance.

Enfin, les Lembas suscitent un intérêt particulier avec leurs revendications concernant leur lien supposé avec les anciennes tribus d’Israël. Bien que les preuves historiques et génétiques soient encore sujettes à débat, leur histoire souligne l’importance de considérer les multiples facettes de l’histoire africaine et de promouvoir une approche éclairée et nuancée de l’identité et de la culture en Afrique.

L’étude du Judaïsme en Afrique contribue ainsi à une compréhension plus approfondie des interactions culturelles, religieuses et historiques du continent. Il est essentiel de poursuivre la recherche et la reconnaissance des multiples voix et récits qui composent la riche diversité de l’Afrique et de sa contribution à l’histoire religieuse mondiale. En honorant ces différentes perspectives, nous pouvons renforcer la compréhension et la tolérance entre les peuples, et célébrer la richesse de la culture africaine dans toute sa diversité.

SOURCES

1. Les Juifs en Afrique du Nord:

Article: “Jewish Communities of North Africa” (Encyclopedia Britannica)

Livre: “The Jews of North Africa: From Dido to De Gaulle” de Michael Laskier et Ali Merad

Livre: “Jews of Arab Lands: A History and Source Book” de Norman A. Stillman

Article: “Jewish Communities of the World: North Africa” (The Jerusalem Post)

Article: “History of the Jews in North Africa” (My Jewish Learning)

Livre: “Jews of Africa and the African Diaspora: The Afro-Semitic Experience from Antiquity to Modern Times” de Edith Bruder

Article: “North African Jewish Identity: A Case of Reverse Orientalism” de Brian A. Larkin (Disponible sur JSTOR)

2. Les Falachas d’Éthiopie:

Article: “Beta Israel” (Jewish Virtual Library)

Livre: “The Beta Israel (Falasha) in Ethiopia: From Earliest Times to the Twentieth Century” de Steven Kaplan

Livre: “Black Jews in Africa and the Americas” de Tudor Parfitt

Article: “Who Are Ethiopia’s Jews?” (BBC News)

Documentaire: “Falasha: Exile of the Black Jews” (National Film Board of Canada)

Article: “The Falashas: A Forgotten People” de Rita Pankhurst (Disponible sur JSTOR)

Livre: “Les Falachas, Nègres errants du peuple juif” de Tidiane N’Diaye

3. Les Lembas d’Afrique australe

Livre : “The Lemba: A Lost Tribe of Israel in Southern Africa?” de Tudor Parfitt – Cet ouvrage est l’un des premiers à étudier en profondeur l’histoire et les revendications des Lembas concernant leur lien avec les anciennes tribus d’Israël. L’auteur, Tudor Parfitt, est un éminent chercheur et anthropologue spécialisé dans l’histoire juive et l’identité des communautés juives dispersées.

Article : “The Lemba – A Black Jewish Community in Southern Africa” de Tudor Parfitt (disponible sur JSTOR) – Cet article approfondit les recherches de l’auteur sur les Lembas et leur revendication d’une ascendance juive ancienne, en analysant des preuves historiques et culturelles.

Article : “Y-chromosomal evidence for a founder effect in Ashkenazi Jews” publié dans l’European Journal of Human Genetics – Cet article examine les données génétiques des Lembas et leur lien potentiel avec les populations juives. Il aborde également les résultats d’une étude génétique qui suggère une origine commune des Lembas et des Juifs ashkénazes.

Article : “African Semitic Language Revisited: The Identity of the Lemba and the Jews of India” de M. D. W. Jeffreys – Cette étude explore les similitudes linguistiques entre les Lembas et les Juifs, ainsi que les liens possibles avec les populations juives de l’Inde.

Documentaire : “The Lost Ark” – Ce documentaire, réalisé par Tudor Parfitt, suit ses recherches sur les Lembas et leur tradition du “ngoma lungundu,” une relique qu’ils considèrent comme une arche d’alliance.

4. Revendications concernant l’histoire des Noirs dans la Bible:

Article: “Africana Biblical Interpretation” (Oxford Research Encyclopedia of Religion)

Livre: “African and African American Contributions to Biblical Interpretation” édité par Randall C. Bailey, Tat-siong Benny Liew, et Fernando F. Segovia

Livre: “The African Origin of Civilization: Myth or Reality” de Cheikh Anta Diop

Article: “Blacks and Jews: Uniting the Two Nations” (The Huffington Post)

Conférence: “The Black Presence in the Bible and the Table of Nations” par Dr. Yosef Ben-Jochannan

Livre: “Black Biblical Studies: An Anthology of Charles B. Copher’s Writings on the Bible, Africa, and the Ancient World” de Charles B. Copher

Article: “Black Biblical Studies and the African Diaspora: Whence and Whither?” de Vincent L. Wimbush (Disponible sur JSTOR)

4. L’héritage spirituel de la vallée du Nil:

Article: “Egyptian Religion” (Encyclopedia Britannica)

Livre: “African Religion: The Moral Traditions of Abundant Life” de Laurenti Magesa

Livre: “African Mythology: An Encyclopedia of Myth and Legend” de Jan Knappert

Article: “The Ancient Egyptian Concept of Ma’at: Reflections on Social Order and Natural Harmony” (The Journal of African History)

Article: “Ancient Egyptian Religion” (Ancient History Encyclopedia)

Livre: “The African Unconscious: Roots of Ancient Mysticism and Modern Psychology” de Edward Bruce Bynum

Article: “African Spirituality: On Becoming Ancestors” de Jacob K. Olupona (Disponible sur JSTOR)

5. Le mouvement des Blacks Hebrew Israelites:

Article: “The Black Hebrew Israelites of America” (Journal of Religious and Theological Information)

Livre: “The Invention of the Jewish People” de Shlomo Sand (pour une perspective critique)

Livre: “The Black Jews of Africa: History, Religion, Identity” de Edith Bruder

Article: “Black Hebrew Israelites: An Introduction” (Religion News Service)

Vidéo: “Hebrew or So-Called Black Hebrew Israelites?” par Dr. James White (Alpha and Omega Ministries)

Livre: “The Hebrew Israelite Manifesto: Black Jews Speak Out. Volume 1” de Shaykh Ra Saadi El

Article: “The New Covenant, Hebrew Israelites, and American Christianity” de Vincent L. Wimbush (Disponible sur JSTOR)

6. Théories de Réappropriation Identitaire et la Connection Khazars-Ashkénazes

Livre : “The Holocaust: A New History” de Laurence Rees

Livre : “The War Against the Jews: 1933-1945” de Lucy S. Dawidowicz

Livre : “The Holocaust Encyclopedia” édité par Walter Laqueur et Judith Tydor Baumel-Schwartz

Site web : United States Holocaust Memorial Museum (ushmm.org) – Holocaust Encyclopedia

Article : “Antisemitic Myth: Khazars and Ashkenazim” (Anti-Defamation League)

Livre : “The Thirteenth Tribe: The Khazar Empire and Its Heritage” de Arthur Koestler – Ce livre, publié en 1976, a été largement critiqué par les historiens et les experts en Judaïsme pour ses erreurs factuelles et ses conclusions non fondées sur l’origine des Ashkénazes. Il a néanmoins été utilisé pour propager la théorie khazar et ses liens présumés avec les Ashkénazes.

Site Web : “Khazaria.com” – Ce site web a été critiqué pour ses affirmations controversées concernant les Khazars et leur relation supposée avec les Ashkénazes.

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